Au début ...

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Agogô Percussions est née le 22 novembre 1988 (date de déclaration en Préfecture) sous l’impulsion d’un petit groupe de potes de la Vallée du Cailly, venus à la musique brésilienne à partir d’un livre-méthode de batucada qui constitue, à l’époque en France, la base de ce genre musical et suscite un véritable engouement. L’association s’est façonnée autour du Samba Carioca.
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  • Le groupe d’une quinzaine de personnes s’appelle au début “Réveil latin” et fabrique lui-même ses surdos et tambourins à partir d’objets de récup. Les sorties de l’année 1989 - en particulier Les Voiles de la Liberté – lui font pousser des ailes, lui offrent une visibilité auprès du public de la région et nourrissent son esprit carnavalesque. 
  • Agogô se réunit alors autour de répétitions. Les cours commencent à partir de 1991. D’autres forces vives viennent grossir les rangs, l’animation pédagogique se développe et les activités proposées se diversifient. 

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  • A la fin des années 90, après un passage à vide durant lequel le groupe se réduit de façon drastique, Agogô – qui ne tournait plus qu’autour de sa section « pro » - prend un tournant important.
  • Franck a alors le projet d’y développer la pratique amateur et de monter un spectacle dans le cadre de l’Armada du Siècle en 1999.
  • La section amateur Samb’arts voit le jour dans ce contexte. C’est à l’occasion du spectacle, intitulé Carnavoile, qu’Agogô s’embarque dans le répertoire de samba reggae. Plusieurs groupes, tels que Sonafrique (percussions africaines) et Sambrasil (danse afro-brésilienne), émergent au sein de l’association.

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  • L’atelier Samba de Mesa est mis en place à la suite d’un plan à Manosque pour lequel Franck avait proposé de monter un petit répertoire de pagode.
  • La batucada change radicalement de forme et s’ancre davantage dans l’héritage brésilien, après qu’un petit groupe de membres a effectué un stage au Brésil en 2002 auprès du mestre de bateria Marquinho da Dona Geralda.
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  • Les années suivantes sont rythmées par d’autres créations de spectacles (Mascarythm, The I.B.O., Papangus), des participations à des festivals, des encontros de baterias et autres événements autour de la culture brésilienne, mais aussi par les transitions entre les « générations » d’adhérents.
  • Au fil des ans, Agogô a continué à évoluer dans sa structure et ses activités et s’est finalement recentrée sur son activité originelle, les percussions brésiliennes. C’est sous cette forme que nous la connaissons actuellement.